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Contes du monde

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L'éternité n'est pas de trop

Lecture contée de l'ouvrage de François Cheng

Ce roman de François Cheng se déroule en Chine, à la fin de la dynastie des Ming. L’époque est difficile, les valeurs sont malmenées, le pouvoir est affaibli, les charges pèsent sur l’ensemble de la population. Une situation tellement facile à imaginer où l’amour ne semble pas avoir sa place, sauf un amour qui bouscule tout, même la mort.

Fidèle à l’esprit du texte, Jean Guillon le donne sous la forme d’un conte éternel, issu d’un joyau de la littérature contemporaine, grâce à la complicité créative de Michel Cerda.

Création pour « Les Voix Vives de la Méditerranée » 2022.

À propos de cette création :

- « Par un concours de circonstances heureux, l’auteur de « l’Éternité n’est pas de trop », François Cheng, m’a autorisé à produire son texte sous forme de spectacle, il m’a même encouragé en me faisant totalement confiance pour « conter » son roman. Je me suis trouvé devant mes peurs avant tout. J’ai alors premièrement concocté un texte « racontant » cette histoire à partir de tous ses personnages en les présentant dans un ordre croissant selon leur importance. Étant peu sûr de moi, j’ai demandé l’aide d’un grand ami et musicien poly-instrumentiste qui s’est imprégné du roman, de ses ambiances et qui a utilisé force instruments évoquant l’atmosphère de l’œuvre, inséparable de la profonde culture chinoise. Ce fut un échec, je m’en suis heureusement rendu compte à la première représentation. Mon texte éloignait bien trop l’auditeur du propos du livre. Il m’a fallu plusieurs années de maturation pour finalement me décider à allier l’art du conte à un autre art que je ne possédais pas encore bien : l’art de la lecture à voix haute. Cela m’a permis de ne pas paraphraser une écriture parfaite et sublime et de laisser mon imagination de conteur se promener dans ce magnifique univers où l’amour sous tend le temps et permet au temps d’exister, notre univers en somme. »

J.G.

Celtes et Gaulois

Gaulois est la façon dont les Romains nommaient les Celtes.

Ceux-ci vivaient sur un vaste territoire s’étendant depuis l’Écosse jusqu’à la Méditerranée (bien avant les Romains).

Chacun des deux artistes raconte à sa façon : Dominique avec, entre autres, la musique celtique et Jean avec des contes qui vont de la fondation de Marseille jusqu’aux Picts Écossais.

Dans l'ombre claire des temples de l'Inde

Le mystère des contes indiens vient de l'ombre des temples où les dieux, chez eux, discourent avec les hommes. Ce qui fascine dans cette culture c’est la liberté. Elle est sous-jacente dans les préoccupations des héros, comme dans celles des petites gens, diapason bouleversant d'humanité et non dépourvu d'humour.

Ce spectacle mêle expériences vécues et légendes immémoriales, il entraîne le public dans un univers flamboyant où les actions des dieux, à l’instar des dieux grecs, sont parfois déjouées par des humains.  Tout cela ponctué avec un gopi qui est l’instrument des bardes errants.

Marigold

Cette vie est un conte dont le héros est bonimenteur.

Il s’appelle Docteur, mais non pas à cause d’un diplôme ou d’une pratique avérée !                                                                                           

Dickens emmène en roulotte et s’adresse au public avec humour, astuce et…métier !                                                      

Voyageur au grand cœur, Marigold fera l’éducation d’une enfant abandonnée,

sourde et muette.  Une histoire généreuse et touchante.

On trouve aussi dans ce texte, la démarche de l’auteur pour la création d’un livre.

Les travailleurs de Dickens

Vous aimez peut être Dickens, mais vous n'avez pas lu toute son œuvre. Jean Guillon l'a fait et il en a sorti de nombreux personnages.

Le premier, par ordre d'apparition, est un commis voyageur, plutôt jovial, qui vit une expérience cocasse et délirante.

Ensuite, cinq autres sont extraits au hasard de cette foule immense, semblable à un fleuve puissant comme la Tamise. Transposant leurs métiers à notre époque, Jean leur invente une histoire commune sur le tas.

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